Money, time, quality, la devise du succès de Jason Calacanis
Jason Calacanis est le fondateur de Weblogs. Inc, un média-blog qui connaît un énorme succès aux États-Unis entre autre par le fait de son modèle d’affaire qui consiste à rémunérer quelques 200 blogueurs qui fournissent régulièrement du contenu. Son credo est que le blogueur de qualité doit être rémunéré selon ce principe: « money to me means time, time means quality, quality means success ».
Récemment Jason a pris les commandes du « nouveau » Netscape qui se positionne comme une plateforme de « metajournalisme » et propose d’offrir 1000$ par mois aux blogueurs et autres fournisseurs de réseaux sociaux à hauteur de 150 billets par mois. Pourquoi? Rien d’altruiste dans cette démarche car en fait ce qui est la mine d’or à exploiter, ce sont les commentaires et discussions qui augmentent de façon considérable le nombre de pages vues.
Intéressant de voir comment vont se positionner dans le futur les « digg-like» francophones, les médias citoyens et les médias traditionnels en mal de second souffle si ce n’est de survie.
Pistes: paying the top DIGG/REDDIT/Flikr/Newsvine user chez Calacanis.com via Blogging the news
Weblogs.Inc
20 juillet 2006 Ã 17 h 27 mi
Ravi de constater que mon “analyse” est partagée 😉
merci pour le lien
21 juillet 2006 Ã 19 h 25 mi
Ce qui est intéressant à noter c’est que cette offre ne fait pas l’affaire de l’élite du web deux qui a pris un peu trop pour acquis le fait de s’enrichir grâce au bénévolat des membres. D’ailleurs il récidive :
http://www.calacanis.com/2006/07/20/why-the-web-2-0-and-media-elite-are-so-upset-about-paying-amateu/
Décidément,je l’aime bien ce Jason !!
23 juillet 2006 Ã 17 h 10 mi
thanx pour le lien, vais lire ça tout de suite (le flux rss de jason ne “passe” plus chez moi (sur Flock) depuis quelques jours.
25 août 2006 à 18 h 05 mi
Et il persiste ! Je partage tout à fait : “Intéressant de voir comment vont se positionner dans le futur les « digg-like» francophones, les médias citoyens et les médias traditionnels en mal de second souffle si ce n’est de survie.”
J-M